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J'ai découvert, de loin, ce Pic de Lariou en faisant cette rando. La montée en direct comme toi me tente bien. Ou en faisant la traversée de la crête comme l'a fait Gilles et le propose Tim dans son bouquin.lagrole a écrit :Pour l'exercice en neige à proximité, comme l'évoque Naulekh, c'est moi qui étais accompagné par les barjots
https://lagrolenpyrenees.blogspot.com/2 ... rnale.html
Si il y a quelque chose que j'ai appris avec les copains et la montagne et qui m'a aussi bien servi "en bas", c'est de ne pas penser à l'obstacle AVANTBouquetin Boiteux a écrit :De plus, là, comme c'est un aller-retour, la trouille tu l'as à l'aller... et au retour. Et du coup, je m'imagine bien, au sommet, ne pas profiter de l'instant présent mais juste penser au retour .
Si tu y pense, déjà tu dors pas de la nuit 
À la page 123 de "Lescun tous azimuts", il y a un petit commentaire dissuasif sur une variante d'ascension du Mallo de Acherito : "Intéressante en théorie, dangereuse et sans intérêt en pratique". Pour écrire cela, il m'a fallu amener un eyra obligé d'avoir le pied léger et de garder la corde bien tendue pour ne pas réveiller les rochers au sommeil léger...eyra a écrit :Si il y a quelque chose que j'ai appris avec les copains et la montagne et qui m'a aussi bien servi "en bas", c'est de ne pas penser à l'obstacle AVANT
Tu sors avec ces bargeots, tu sais qu'à un moment ou un autre il y aura du chaud
Puis sortie après sortie, le chaud devient tiède.....
Seule limite surtout en solo:
-1 avoir un piolet même si on se moque de toi
-2 ne jamais monter sur ce que tu n'es pas certain de pouvoir descendre.
Je lui devais bien un retour au pied des Aiguilles et par la cabane de Pédain 
