Encore du ski au Néouvielle
Publié : 07 mai 2013 20:36
Samedi, fin de matinée, on monte en plein cagnard vers la Glère, et malgré les températures estivales, ça chausse encore chez Louisette ! Après la piste bien longuette et quelques traversées de zones de boules terreuses, on attaque la montée vers la Glère dans une neige bien soupe. A 2100, pas démoralisés par la promesse d'une descente aquatique, on continue vers la hourquette de Mounicot. Eh oui, on est accro au ski (même pourri) ou on ne l'est pas !
Réverbération bien sévère au lac de la Glère

Le Campanal de Larrens pointe au loin

Monter à une heure pareille, il faut vraiment être motivés (ou débiles, au choix)... et on monte...

Ode à mes skis ! avec la hourquette d'Aubert derrière

Le soir, ça se couvre, mais nous, on échafaude des plans pour le lendemain ! Néouvielle ? Turon ? Les deux peut-être !
Espade et Néouvielle

La hourquette de Mounicot

Campanal de Larrens et pic de la Coume de l'Ours derrière

Dimanche, le ciel est presque tout bleu et le regel béton. La descente du refuge jusqu'au lac en bas avec les peaux racle un peu et puis il faut remonter les vallons jusqu'au mur raide sous la brèche.
Le Mont Arrouy (y voit-on Christian ?)


Le Néouvielle, assailli par un malheureux voile nuageux


La Glère est déjà loin


Les couteaux sont plus que nécessaires, la pente se raidit et les conversions sont un peu tendues, mais ouf, on arrive au pied de la brèche de Chausenque, que l'on passe en crampons.

Derrière, c'est vierge, à nous la trace ! Plus on monte, plus il y a de fraîche, plus on a la banane en pensant à la descente... Le sommet s'atteint après une courte escalade facile en crampons piolet. Normalement, on aurait du profiter d'un somptueux panorama, mais non, un voile nuageux avait décidé de rester là. C'est pas grave, on est pas venus que pour ça, mais pour ces virages extra dans la poudre plein nord !

Le pic du Midi, un peu gris

Et l'Arbizon en noir et blanc

Après repassage de la brèche et repeautage, on descend jusqu'à 2650 environ et on remonte vers le Turon.
Le versant nord de la brèche de Chausenque

Purée, c'est pas la porte à côté... long et plat, le truc !

On arrive finalement au sommet, vue toujours pas dégagée. De belles corniches ornent l'arrête entre Turon et pic des Trois Conseillers.

Fin des photos, pas le temps de s'arrêter dans la descente, la crêpe nous attendant à Luz. Croûtée en haut, puis moquette, puis soupe, puis eau profonde... peu importe, on en aura bien profité !
Réverbération bien sévère au lac de la Glère
Le Campanal de Larrens pointe au loin
Monter à une heure pareille, il faut vraiment être motivés (ou débiles, au choix)... et on monte...
Ode à mes skis ! avec la hourquette d'Aubert derrière
Le soir, ça se couvre, mais nous, on échafaude des plans pour le lendemain ! Néouvielle ? Turon ? Les deux peut-être !
Espade et Néouvielle
La hourquette de Mounicot
Campanal de Larrens et pic de la Coume de l'Ours derrière
Dimanche, le ciel est presque tout bleu et le regel béton. La descente du refuge jusqu'au lac en bas avec les peaux racle un peu et puis il faut remonter les vallons jusqu'au mur raide sous la brèche.
Le Mont Arrouy (y voit-on Christian ?)
Le Néouvielle, assailli par un malheureux voile nuageux
La Glère est déjà loin
Les couteaux sont plus que nécessaires, la pente se raidit et les conversions sont un peu tendues, mais ouf, on arrive au pied de la brèche de Chausenque, que l'on passe en crampons.
Derrière, c'est vierge, à nous la trace ! Plus on monte, plus il y a de fraîche, plus on a la banane en pensant à la descente... Le sommet s'atteint après une courte escalade facile en crampons piolet. Normalement, on aurait du profiter d'un somptueux panorama, mais non, un voile nuageux avait décidé de rester là. C'est pas grave, on est pas venus que pour ça, mais pour ces virages extra dans la poudre plein nord !
Le pic du Midi, un peu gris
Et l'Arbizon en noir et blanc
Après repassage de la brèche et repeautage, on descend jusqu'à 2650 environ et on remonte vers le Turon.
Le versant nord de la brèche de Chausenque
Purée, c'est pas la porte à côté... long et plat, le truc !
On arrive finalement au sommet, vue toujours pas dégagée. De belles corniches ornent l'arrête entre Turon et pic des Trois Conseillers.
Fin des photos, pas le temps de s'arrêter dans la descente, la crêpe nous attendant à Luz. Croûtée en haut, puis moquette, puis soupe, puis eau profonde... peu importe, on en aura bien profité !