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Je relate aussi la disparition tragique de Jean Le Corre.
Olivier

Encore une grande classique Ariégeoise mais quelle tristesse cette mort

Merci Olivier pour ce classique, mais tellement belle la plaine vue depuis l'Endron.

Je savais cette crête accidentogène en hiver à cause des corniches, mais en l'absence de neige je n'aurai jamais que cela puisse être si fatal.
Quelle tristesse !

Merci pour ces belles images !
Je ne connais pas les lieux , ni M JEAN , mais ça fait mal de lire "il a trébuché" , puis chute de 60 metres et décés .... !
C'est dur pour tout le monde de la rando , on n'est jamais assez prudent ?

coll roig a écrit :Merci pour ces belles images !
Je ne connais pas les lieux , ni M JEAN , mais ça fait mal de lire "il a trébuché" , puis chute de 60 metres et décés .... !
C'est dur pour tout le monde de la rando , on n'est jamais assez prudent ?

C'est vrai, le maitre mot est la prudence.

lpnaute a écrit :Je savais cette crête accidentogène en hiver à cause des corniches, mais en l'absence de neige je n'aurai jamais que cela puisse être si fatal.

Jean Le Corre a fait une chute sur l'arête au sud du Pic Peyrot; une section d'arête un peu accidentée demandant de l'attention, comme on en a sans doute parcouru beaucoup dans nos pérégrinations. Une de ses collègues du jour l'a entendu dire "Ah zut !" et en levant les yeux l'a vu chuter.
Comme quoi personne -et même un montagnard aussi expérimenté qu'il l'était- n'est à l'abri d'un accident de cet ordre; ça fait réfléchir.

Merci beaucoup Dédé, Ludovic et Jean-Claude pour vos gentils messages. Un peu bouleversé d'avoir échanger simplement quelques mots avec Jean Le Corre, montagnard chevronné, seulement quelques heures avant qu'il ne parte. Comme dit Néthou, ça donne à réfléchir ! C'est la toute première fois que je suis confronté à une telle situation. J'ai pu envoyer mes condoléances aux deux dames, Cécile et Nathalie, qui l'ont accompagné. J'ai déjà gravi le Peyrot sans difficultés mais très certainement, ils voulaient poursuivre vers l'Aspre et là, c'est une autre histoire. Amitiés montagnardes à tous les 4. Olivier.