Cimetierre anglo-canadien de Douly
Publié : 07 nov. 2009 22:40
Petite balade ce matin malgré la météo médicore. Départ de la route de la station de Nistos, 45mn pour atteindre le cimetierre anglo-canadien de Douly où sont enterrés 7 avionneurs de la RAF, un canadien et 6 anglais, qui venait parachuter des armes pour les maquis français et dont l'avion s'est écrasé sur les flancs du pic Douly. Située en pleine montagne, au milieu des sapins, c'est un lieu émouvant.

On est ensuite montés sur les crêtes, objectif Mont-Aspet, 1850m que l'on voit au loin. Un peu de brouillard au sommet mais rien d'alarmant, et la crête a l'air sympa avec sa petite bande de neige. Pour l'instant, belle pelouse verte, pas une trace de neige.

Manque de bol, en une demi-heure une petite tempête de grésil nous tombe dessus. On se réfugie dans la vieille cabane de la Prade. On est trempés mais contents d'être à l'abri car le grésil poussé par le vent nous piquait le visage. Le grésil se transorme ensuite en neige. Pendant ce temps dans la cabane on en profite pour casser la croute et boire le thé chaud du thermos bienvenu.

Il faut bien repartir, et affronter le vent et la neige. Leonoel devant la nouvelle cabane de Prade, fermée. Le brouillard recouvre tout, le sol est tout blanc, on laisse tomber l'idée de monter au Mont-Aspet ...

Retour sur la route. Putain, mais qu'est-ce qu'on fout là ? !


On est ensuite montés sur les crêtes, objectif Mont-Aspet, 1850m que l'on voit au loin. Un peu de brouillard au sommet mais rien d'alarmant, et la crête a l'air sympa avec sa petite bande de neige. Pour l'instant, belle pelouse verte, pas une trace de neige.

Manque de bol, en une demi-heure une petite tempête de grésil nous tombe dessus. On se réfugie dans la vieille cabane de la Prade. On est trempés mais contents d'être à l'abri car le grésil poussé par le vent nous piquait le visage. Le grésil se transorme ensuite en neige. Pendant ce temps dans la cabane on en profite pour casser la croute et boire le thé chaud du thermos bienvenu.

Il faut bien repartir, et affronter le vent et la neige. Leonoel devant la nouvelle cabane de Prade, fermée. Le brouillard recouvre tout, le sol est tout blanc, on laisse tomber l'idée de monter au Mont-Aspet ...

Retour sur la route. Putain, mais qu'est-ce qu'on fout là ? !
