De Viscos au Viscos
Publié : 19 avr. 2010 19:27
Travaillant sur le chantier routier d'Agos, j'ai eu tout le loisir d'observer le Viscos cette semaine. En plus en montant au Léviste, j'ai vu aussi que le névé de la cabane du Boussu était maigrelet. Mais je ne monte pas là-haut sans appréhension, entre ce qu'on imagine d'en bas et ce qu'on trouve en haut ...
Départ du parking, quelques secondes avant que les lumières de la ville ne s'éteignent.

J'aime bien le pied du chemin. Il est encore empierré, il faut se tordre le cou pour voir le haut tellement il est raide. On est tout de suite dans l'ambiance. Au Boussu on rattrape le soleil.

A peine un poil plus haut, Voyou m'attend pendant que je chausse les crampons.

De toute façon, il sera le premier en haut. Je le sens narquois, même.

Du point de vue, je ne garde que lui ...

mais avouez que d'ici, le soum de Léviste sur lequel vous devriez deviner les silhouettes de jordi et dino a de la gueule !

Lui, je ne l'aime que comme çà. C'est tellement triste, cet homme planté sur une croix elle-même plantée dans le sol. Je préfère lui offrir un biplan.

En descendant, Voyou file vers son premier sifflement de marmotte (trop tard le gros !) pendant que je sauve madame

Je fais dans le bucolique printanier, avant de retourner, encore et encore, apprendre mon métier des plus anciens.


Au revoir, labrit des champs !

Départ du parking, quelques secondes avant que les lumières de la ville ne s'éteignent.

J'aime bien le pied du chemin. Il est encore empierré, il faut se tordre le cou pour voir le haut tellement il est raide. On est tout de suite dans l'ambiance. Au Boussu on rattrape le soleil.

A peine un poil plus haut, Voyou m'attend pendant que je chausse les crampons.

De toute façon, il sera le premier en haut. Je le sens narquois, même.

Du point de vue, je ne garde que lui ...

mais avouez que d'ici, le soum de Léviste sur lequel vous devriez deviner les silhouettes de jordi et dino a de la gueule !

Lui, je ne l'aime que comme çà. C'est tellement triste, cet homme planté sur une croix elle-même plantée dans le sol. Je préfère lui offrir un biplan.

En descendant, Voyou file vers son premier sifflement de marmotte (trop tard le gros !) pendant que je sauve madame

Je fais dans le bucolique printanier, avant de retourner, encore et encore, apprendre mon métier des plus anciens.


Au revoir, labrit des champs !
