couloir de la Dreta, à Porté Puymorens
Publié : 14 déc. 2011 18:55
Aux vues des conditions d’enneigement des couloirs des PO, en ce moment les valeurs sûres ce sont le Cambre et les couloirs de Porté Puymorens 
;
Hier avec Sabine, on va donc sur le canal de la Dreta, appelé aussi couloir Coudé.
le couloir et ses 2 sorties :
Pour avoir fait le 3 décembre le couloir d’à côté ( couloir en S), je savais les conditions excellentes des couloirs
; l’approche se fait à saute mouton dans le pierrier 
, recouvert en partie de neige ( maintenant c’est plus facile vu que ça fait 3 fois que j’y passe )
Massimo dans le pierrier :
Sab dans le couloir :
Ensuite remontée du cône de déjection ; là ça brasse un peu
; ensuite dans le couloir la neige est bien portante, voire dure sur certaines sections ; on prend la sortie de droite ( d’où le nom du couloir- de la Dreta), une autre sortie ( Directo) se fait par la gauche. Petit ressaut qui se négocie très bien avant de virer à gauche pour rejoindre l’arête enneigée qui mène au sommet ; en fait on peut rejoindre le dôme de 3 façons ; ça passe partout, en louvoyant entre les rochers.
Sab arrive dans le ressaut :
Suivie, 24 heures plus tard de Massimo :
En haut à 2738m, Eole nous accueille d’une vigoureuse bourrade, bien vivifiante
,à l’instant précis où on se pose dans la neige pour manger.
Ensuite on descend par un des couloirs de free-ride, qui longe d’autres couloirs sous le pic des Valletes ( y en a des chouettes, sans parler de la Virgule)
Puis retour voiture, non sans avoir fait un peu de glace :
Quand on vous dit qu’il y a des cascades de glace chez nous, hein !!!
Puis le lendemain, aujourd’hui donc,, hop, hop, hop, je retourne sur ce même couloir, en compagnie de Massimo.
Cette fois on compte passer par la sortie de gauche ; le couloir prend alors le nom de « Directo » ; on prend les traces de la veille, mais le vent les a effacé en partie.
Cette fois, à la bifurcation, on part à gauche :
et on arrive très vite sur un ressaut.
Ravis, on pioche dans de la glace, coincée dans le dièdre ; ouais, sauf que très vite aussi, ça ne dure pas
Dès qu’on attaque le ressaut dans sa partie verticale, plus rien ne tient, c’est de la semoule , et rien pour protéger, même pas une micro fissure pour un p’tit friend ; que dalle !
Massimo s’y essaye à son tour sans plus de réussite ; tant pis on fait marche arrière ; il y aurait bien moyen de passer plus à droite, mais on se dit que plus haut si on rencontre le même pb, ça risque de pas le faire ; il y a beaucoup de mixte, et le hic, c’est que sur les rochers, la neige n’a pas transformée et tout part.
Bon tant pis, on redescend un chouïa, et on prend la variante de droite.
On sort au soleil, pas de vent :
on mange dans la descente, sur des cailloux à droite. Ensuite retour voiture, non sans avoir lorgné une fois de plus sur les couloirs sous les Valletes !
Splendides journées passées en compagnie décalée
de Sab et Massimo
On y retournera
Les photos :
https://picasaweb.google.com/superfrog0 ... directlink
; Hier avec Sabine, on va donc sur le canal de la Dreta, appelé aussi couloir Coudé.
le couloir et ses 2 sorties :
Pour avoir fait le 3 décembre le couloir d’à côté ( couloir en S), je savais les conditions excellentes des couloirs
; l’approche se fait à saute mouton dans le pierrier , recouvert en partie de neige ( maintenant c’est plus facile vu que ça fait 3 fois que j’y passe )Massimo dans le pierrier :
Sab dans le couloir :
Ensuite remontée du cône de déjection ; là ça brasse un peu
; ensuite dans le couloir la neige est bien portante, voire dure sur certaines sections ; on prend la sortie de droite ( d’où le nom du couloir- de la Dreta), une autre sortie ( Directo) se fait par la gauche. Petit ressaut qui se négocie très bien avant de virer à gauche pour rejoindre l’arête enneigée qui mène au sommet ; en fait on peut rejoindre le dôme de 3 façons ; ça passe partout, en louvoyant entre les rochers.Sab arrive dans le ressaut :
Suivie, 24 heures plus tard de Massimo
:
En haut à 2738m, Eole nous accueille d’une vigoureuse bourrade, bien vivifiante
,à l’instant précis où on se pose dans la neige pour manger.Ensuite on descend par un des couloirs de free-ride, qui longe d’autres couloirs sous le pic des Valletes ( y en a des chouettes, sans parler de la Virgule)
Puis retour voiture, non sans avoir fait un peu de glace :
Quand on vous dit qu’il y a des cascades de glace chez nous, hein !!!
Puis le lendemain, aujourd’hui donc,, hop, hop, hop, je retourne sur ce même couloir, en compagnie de Massimo.
Cette fois on compte passer par la sortie de gauche ; le couloir prend alors le nom de « Directo » ; on prend les traces de la veille, mais le vent les a effacé en partie.
Cette fois, à la bifurcation, on part à gauche :
et on arrive très vite sur un ressaut.
Ravis, on pioche dans de la glace, coincée dans le dièdre ; ouais, sauf que très vite aussi, ça ne dure pas
Dès qu’on attaque le ressaut dans sa partie verticale, plus rien ne tient, c’est de la semoule , et rien pour protéger, même pas une micro fissure pour un p’tit friend ; que dalle !
Massimo s’y essaye à son tour sans plus de réussite ; tant pis on fait marche arrière ; il y aurait bien moyen de passer plus à droite, mais on se dit que plus haut si on rencontre le même pb, ça risque de pas le faire ; il y a beaucoup de mixte, et le hic, c’est que sur les rochers, la neige n’a pas transformée et tout part.
Bon tant pis, on redescend un chouïa, et on prend la variante de droite.
On sort au soleil, pas de vent :
on mange dans la descente, sur des cailloux à droite. Ensuite retour voiture, non sans avoir lorgné une fois de plus sur les couloirs sous les Valletes !
Splendides journées passées en compagnie décalée
de Sab et MassimoOn y retournera
Les photos :
https://picasaweb.google.com/superfrog0 ... directlink
, bravo l'équipe ! 
!