Sommet de l'Oudérou
Publié : 27 déc. 2008 22:25
J'ai reçu en cadeau Les Pyrénées en raquettes de Laurent Lafforgue. Un très beau livre dont j'ai voulu tester une des balades. J'ai choisi la plus proche de mon domicile, le Sommet de l'Oudérou (p. 68-71), une modeste montagne entre la Barousse et la vallée de la Pique. J'y étais déjà passé à deux reprises, mais je n'y étais jamais montée par Binos.
C'est effectivement une belle balade. Seule, je n'ai mis que 4h 30, sans me presser. En groupe, le temps indiqué (5 à 6h) me semble parfait. Mais comme pour presque toutes les randos en Barousse, la dénivellée est importante (850 m), la montée est rude, le chemin ne se reposant pratiquement jamais.
Aucune difficulté à la montée, les explications sont claires et le chemin presque évident.
Aux granges des Ourdès, l'inscription bleue Estiouère sur l'abreuvoir est à peine visible car trop délavée. En fait il suffit de prendre à gauche après cette deuxième grange. Le retour se fera par la branche de droite du Y.

Voici la mignonne petite cabane. 4 à 6 places, cheminée, bois sous un appentis ou dans la forêt autour, c'est un bon plan pour une pause casse-croûte ou une nuit loin du monde. Je n'ai pas trouvé d'eau à proximité.


Le Couret de Soulagnech offre un joli point de vue sur la Barousse à gauche, le Cagire, le Burat à droite. Au centre de l'image, le sommet de l'Oudérou.

Plus haut, la vue est encore plus belle, mais aujourd'hui toute la crête frontière était accrochée par les nuages.
Le retour en boucle demande un bon sens de l'orientation. A n'entreprendre que par temps clair. J'ai rencontré des biches à deux reprises. Le second groupe, surpris de me voir, m'a laissé le temps de zoomer :

Une courte et superbe balade, qui doit être encore plus belle sous la neige et le givre ; à refaire donc dès qu'il aura neigé. Le livre de Laurent Lafforgue m'en laisse une vingtaine d'autres à découvrir...
C'est effectivement une belle balade. Seule, je n'ai mis que 4h 30, sans me presser. En groupe, le temps indiqué (5 à 6h) me semble parfait. Mais comme pour presque toutes les randos en Barousse, la dénivellée est importante (850 m), la montée est rude, le chemin ne se reposant pratiquement jamais.
Aucune difficulté à la montée, les explications sont claires et le chemin presque évident.
Aux granges des Ourdès, l'inscription bleue Estiouère sur l'abreuvoir est à peine visible car trop délavée. En fait il suffit de prendre à gauche après cette deuxième grange. Le retour se fera par la branche de droite du Y.

Voici la mignonne petite cabane. 4 à 6 places, cheminée, bois sous un appentis ou dans la forêt autour, c'est un bon plan pour une pause casse-croûte ou une nuit loin du monde. Je n'ai pas trouvé d'eau à proximité.


Le Couret de Soulagnech offre un joli point de vue sur la Barousse à gauche, le Cagire, le Burat à droite. Au centre de l'image, le sommet de l'Oudérou.

Plus haut, la vue est encore plus belle, mais aujourd'hui toute la crête frontière était accrochée par les nuages.
Le retour en boucle demande un bon sens de l'orientation. A n'entreprendre que par temps clair. J'ai rencontré des biches à deux reprises. Le second groupe, surpris de me voir, m'a laissé le temps de zoomer :

Une courte et superbe balade, qui doit être encore plus belle sous la neige et le givre ; à refaire donc dès qu'il aura neigé. Le livre de Laurent Lafforgue m'en laisse une vingtaine d'autres à découvrir...