berger un travail dur lol
Modérateur : Pteam
berger un travail dur lol
Avant les bergers allait dans les montagnes avec leurs betes et y restaient, maintenant ils les montent mais redescendent tout de suite, pour aller siffler quelques verres, j'en ai eu plusieur fois la preuve.
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- Promeneur (neuse)
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Re: berger un travail dur lol
mais c'est dégueulasse ce que tu as dis, espèce de gros pervers.conberger a écrit :Avant les bergers allait dans les montagnes avec leurs betes et y restaient, maintenant ils les montent mais redescendent tout de suite.
et d'ailleurs comment tu en as eue la preuve ? tu étais si près que ca ?
et bien, tout ce qui touche à l'ours succite bien des passions.
je crois qu'il ne faut pas taper, c'est un peu facile, sur les bergers.
je crois que leur métier n'est pas toujours de tout repos.
con-berger (j'ai peut-être écorché votre nom ?), je ne sais pas à quels bergers vous faites allusion (???), mais hier encore (dans les pyrénées ariégeoises) j'ai discuté avec un berger qui gardait son troupeau (vaches).
il a suivi la transumance, il reste 4 mois dans la montagne.
nous sommes loin des alléguations que vous avancez.
Et même s'il arrive que ces (vrais) montagnards descendent dans la vallée pour prendre un peu de repos, et s'amuser un peu, Où est le mal ?
je suppose, qu'à votre manière, il vous arrive aussi de vous amuser, vous ne travaillez pas en permanence (je vous le souhaite).
nous ne sommes pas des chiens.
j'aime la montagne aussi, mais je ne suis pas sûr d'être capable d'y rester 4 mois, en vivant dans une cabane au confort plutôt rudimentaire.
celà demande une passion pour cet environnement, une caractère bien trempé, et d'autres qualités qui ne sont pas forcément courantes.
qu'en pensez vous con-berger ?
je crois qu'il ne faut pas taper, c'est un peu facile, sur les bergers.
je crois que leur métier n'est pas toujours de tout repos.
con-berger (j'ai peut-être écorché votre nom ?), je ne sais pas à quels bergers vous faites allusion (???), mais hier encore (dans les pyrénées ariégeoises) j'ai discuté avec un berger qui gardait son troupeau (vaches).
il a suivi la transumance, il reste 4 mois dans la montagne.
nous sommes loin des alléguations que vous avancez.
Et même s'il arrive que ces (vrais) montagnards descendent dans la vallée pour prendre un peu de repos, et s'amuser un peu, Où est le mal ?
je suppose, qu'à votre manière, il vous arrive aussi de vous amuser, vous ne travaillez pas en permanence (je vous le souhaite).
nous ne sommes pas des chiens.
j'aime la montagne aussi, mais je ne suis pas sûr d'être capable d'y rester 4 mois, en vivant dans une cabane au confort plutôt rudimentaire.
celà demande une passion pour cet environnement, une caractère bien trempé, et d'autres qualités qui ne sont pas forcément courantes.
qu'en pensez vous con-berger ?
Très juste analyse Bernard. Malheureusement ces gens là sont pris pour des chasseurs de primes, des gens malhonnêtes etc…..et cela par une poigné d’irréductibles qui ne connaissent rien au travail de la terre ou de l’élevage. Mon poste précédent qu’il faut lire autrement était une réponse à conberger .
tous les posts (enfin, presque tous) ont au moins un interêt : succiter le débat (constructifs si possible) et la curiosité de tous :
au programme : le métier de berger
voici la fiche métier de cette noble profession.
http://www.anefa.org/docs/berger.pdf
et bien, après lecture, avec tout ce boulot, je crois que je serais un peu fatigué, et surement assoiffé.
et parce que ... l'eau ferrugineuse tue, je passerais à autre chose.
au programme : le métier de berger
voici la fiche métier de cette noble profession.
http://www.anefa.org/docs/berger.pdf
et bien, après lecture, avec tout ce boulot, je crois que je serais un peu fatigué, et surement assoiffé.
et parce que ... l'eau ferrugineuse tue, je passerais à autre chose.
un article remontant à l'année dernière, mais qui fait le point sur le problème.
point de vue journalistique sans doute, mais déjà une approche dépassionnée.
attention, le loup n'est pas loin...
http://www.lexpress.fr/info/sciences/do ... ossier.asp
point de vue journalistique sans doute, mais déjà une approche dépassionnée.
attention, le loup n'est pas loin...
http://www.lexpress.fr/info/sciences/do ... ossier.asp
dépassionné n'est pas toujours le cas, dans cette nouvelle "guerre des demoiselles".
http://www.arbas-aventure.net/
http://www.arbas-aventure.net/
Juste pour revenir sur le titre du post : "berger un travail dur lol"
Je pense que pour Claude Tournan c'est effectivement un travail dur ! sans le "lol"....
Pour info article de "la Dépêche du Midi".
""""""""""Lundi matin, vers 11 heures Claude Tournan se rend dans sa propriété, à Labatch de Luchon, au dessus de Ravi. Situés à six kilomètres de Luchon, à 1 000 mètres d'altitude, les prés sont noyés dans le brouillard. En chemin, il aperçoit du bord de la route, une bête morte, sur la propriété de son voisin, Michel Courrèges. « Elle était coincée contre la clôture, à moitié dévorée. J'ai compris qu'il y avait eu un sérieux problème et qu'il y aurait d'autres brebis tuées dans le pré ». L'éleveur continue sa visite. Il trouve six bêtes mortes, l'une, devait mettre bas dans quelques jours, une autre, avait deux agneaux. Plus haut, une brebis, blessée, erre loin du troupeau. « J'ai reconnu les indices d'une attaque de l'ours, reprend l'éleveur, j'ai trouvé une empreinte, des poils. Il a mangé une brebis entière puis il a joué avec les autres, c'est typique du comportement des ours réintroduits ». Claude Tournan contacte alors le propriétaire du troupeau. Un éleveur passionné qui s'est constitué un cheptel de 40 castillonaises à tête rouge, réparti sur quatre hectares clôturés.
A la recherche d'indices
Les techniciens de l'ONCFS, l'office nationale de la chasse et de la faune sauvage, sont prévenus et se rendent sur site pour constater les dégâts. « Nous sommes venus expertiser les brebis à la demande de l'éleveur qui suspecte une attaque d'ours », explique un technicien, « nous examinons les cadavres à la recherche d'hématomes, de traces de griffes. Nous cherchons tout ce qui peut nous indiquer l'origine du sinistre ». Le technicien n'en dira pas plus, tenu par son devoir de réserve. Claude Tournan, lui est inquiet. Une de ses brebis a été dévorée dans la nuit du 30 avril au 1er mai. Cinq jours plus tard, une nouvelle attaque. Pour lui, l'ours a trouvé un garde manger bien pratique. Il craint une nouvelle visite. « Je vais rentrer le troupeau tous les soirs dans la bergerie, mais le 1er juin, je dois les mener dans les estives, comment vais-je faire ? » demande-t-il aux techniciens. Jean-Paul Denard possède une propriété voisine sur laquelle ses chevaux paissent tranquillement. « Moi, c'est sûr, ce soir, je dors là, je vais surveiller""""""""""
Je pense que pour Claude Tournan c'est effectivement un travail dur ! sans le "lol"....
Pour info article de "la Dépêche du Midi".
""""""""""Lundi matin, vers 11 heures Claude Tournan se rend dans sa propriété, à Labatch de Luchon, au dessus de Ravi. Situés à six kilomètres de Luchon, à 1 000 mètres d'altitude, les prés sont noyés dans le brouillard. En chemin, il aperçoit du bord de la route, une bête morte, sur la propriété de son voisin, Michel Courrèges. « Elle était coincée contre la clôture, à moitié dévorée. J'ai compris qu'il y avait eu un sérieux problème et qu'il y aurait d'autres brebis tuées dans le pré ». L'éleveur continue sa visite. Il trouve six bêtes mortes, l'une, devait mettre bas dans quelques jours, une autre, avait deux agneaux. Plus haut, une brebis, blessée, erre loin du troupeau. « J'ai reconnu les indices d'une attaque de l'ours, reprend l'éleveur, j'ai trouvé une empreinte, des poils. Il a mangé une brebis entière puis il a joué avec les autres, c'est typique du comportement des ours réintroduits ». Claude Tournan contacte alors le propriétaire du troupeau. Un éleveur passionné qui s'est constitué un cheptel de 40 castillonaises à tête rouge, réparti sur quatre hectares clôturés.
A la recherche d'indices
Les techniciens de l'ONCFS, l'office nationale de la chasse et de la faune sauvage, sont prévenus et se rendent sur site pour constater les dégâts. « Nous sommes venus expertiser les brebis à la demande de l'éleveur qui suspecte une attaque d'ours », explique un technicien, « nous examinons les cadavres à la recherche d'hématomes, de traces de griffes. Nous cherchons tout ce qui peut nous indiquer l'origine du sinistre ». Le technicien n'en dira pas plus, tenu par son devoir de réserve. Claude Tournan, lui est inquiet. Une de ses brebis a été dévorée dans la nuit du 30 avril au 1er mai. Cinq jours plus tard, une nouvelle attaque. Pour lui, l'ours a trouvé un garde manger bien pratique. Il craint une nouvelle visite. « Je vais rentrer le troupeau tous les soirs dans la bergerie, mais le 1er juin, je dois les mener dans les estives, comment vais-je faire ? » demande-t-il aux techniciens. Jean-Paul Denard possède une propriété voisine sur laquelle ses chevaux paissent tranquillement. « Moi, c'est sûr, ce soir, je dors là, je vais surveiller""""""""""