Mont Valier en juillet
Modérateur : Pteam
Sur la Voie Normale, tu as la cabane de Caoussis. Propre et bon état.
Pour le bivouac sur la Voie Normale, beaucoup choississent de camper aux Estagnous, c'est à dire à côté du refuge gardé, mais le mieux à mon avis c'est un bivouac au bord de l'étang Rond, qui n'est pas loin de la cabane de Caoussis.
Sinon tu as les Voies pas Normales. La plus simple est celle qui part du même parking et qui monte par les étangs de Milouga. On rejoint la Voie Normale pour la dernière heure d'ascension. Il y a alors deux cabanes possibles pour la nuit: Espugues et Taus. Il y a un petit détour à faire pour la cabane de Taus (30mn). Moi je préfère Espugues, mieux placée.
Il ya deux voies par le versant Est mais elles sont un poil plus dures, soit couloir d'éboulis aide soit petits passages en rocher, et surtout itinéraires moins bien marqués. Là il vaut mieux avoir un topo clair.
Pour le bivouac sur la Voie Normale, beaucoup choississent de camper aux Estagnous, c'est à dire à côté du refuge gardé, mais le mieux à mon avis c'est un bivouac au bord de l'étang Rond, qui n'est pas loin de la cabane de Caoussis.
Sinon tu as les Voies pas Normales. La plus simple est celle qui part du même parking et qui monte par les étangs de Milouga. On rejoint la Voie Normale pour la dernière heure d'ascension. Il y a alors deux cabanes possibles pour la nuit: Espugues et Taus. Il y a un petit détour à faire pour la cabane de Taus (30mn). Moi je préfère Espugues, mieux placée.
Il ya deux voies par le versant Est mais elles sont un poil plus dures, soit couloir d'éboulis aide soit petits passages en rocher, et surtout itinéraires moins bien marqués. Là il vaut mieux avoir un topo clair.
Pour compléter les conseils de Cyril, il est même possible d’aller au mont valier, en partant du col de la Core, en direction du col d’Auédole.
On peut également partir de ce même col, en suivant une portion du gr10 et suivre une partie du « chemin de la liberté », via la cabane de subéra et le col des crabérous.
Autre option, partir des hauteurs du lac de Bethmale, en suivant la piste forestière (environ 6 kms) et en grimpant dans le bois de « Moun Nère », sur les hauteurs du cirque de Campuls.
Ce dernier itinéraire permet de rejoindre, comme le précédent, le col d’Auédole - ainsi que l’étang d’Ayès-.
Il suffit ensuite de rejoindre l’étang d’eychelle, puis la cabane du même nom, et ensuite la cabane des espugues - surplombant l’étang de milouga, et située sous le col des crabérous -.
balisage jaune.
Précision :
cette cabane est bien construite.
Elle est appréciée des bergers, des randonneurs, des pécheurs (sachant pêcher), … et des rongeurs (sachant ronger).
Rappel historique : cette cabane figure sur l’itinéraire du « chemin de la liberté ».
Depuis cette cabane, pour rejoindre le Valier (par la voie « normale »), plusieurs possibilités.
. La plus courte : descendre à l’étang de milouga, puis remonter jusqu’au col de pécouch, que l’on redescend ensuite pour faire l’ascension, sur l’autre versant - côté Estagnous -.
. La plus longue - mais moins de dénivelés -, suivre la courbe de niveau ;
Depuis la cabane, partir vers l’étang de Cruzous, puis remonter -dans les lauzets - jusqu’au col de Pécouch, en réalisant une large boucle.
Une belle boucle sur un relief très minéral - gros blocs, éboulis, grandes dalles calcaires -, en longeant l’ « arête des antiques ».
http://www.pyrenees-team.com/forumpteam ... &start=195
. La plus aérienne : en grimpant au Valier par « l’arête des antiques ».
Cf. Photo ci-dessus.
Ces itinéraires sont moins fréquentés, plus sauvages.
On y observe une faune plus présente ;
. Animaux sauvages : marmottes, isards, rapaces, dahuts …
. Mais également des animaux « domestiques », … des moutons – qui semblent rechercher la présence humaine, peut-être rassurante, … allez savoir pourquoi … -, des chevaux, des vaches,
… et des ours, ... pour s’occuper de tout ce petit monde.
La montagne, … ca vous gagne.
Je possède quelques photos récentes du secteur.
On peut également partir de ce même col, en suivant une portion du gr10 et suivre une partie du « chemin de la liberté », via la cabane de subéra et le col des crabérous.
Autre option, partir des hauteurs du lac de Bethmale, en suivant la piste forestière (environ 6 kms) et en grimpant dans le bois de « Moun Nère », sur les hauteurs du cirque de Campuls.
Ce dernier itinéraire permet de rejoindre, comme le précédent, le col d’Auédole - ainsi que l’étang d’Ayès-.
Il suffit ensuite de rejoindre l’étang d’eychelle, puis la cabane du même nom, et ensuite la cabane des espugues - surplombant l’étang de milouga, et située sous le col des crabérous -.
balisage jaune.
Précision :
cette cabane est bien construite.
Elle est appréciée des bergers, des randonneurs, des pécheurs (sachant pêcher), … et des rongeurs (sachant ronger).
Rappel historique : cette cabane figure sur l’itinéraire du « chemin de la liberté ».
Depuis cette cabane, pour rejoindre le Valier (par la voie « normale »), plusieurs possibilités.
. La plus courte : descendre à l’étang de milouga, puis remonter jusqu’au col de pécouch, que l’on redescend ensuite pour faire l’ascension, sur l’autre versant - côté Estagnous -.
. La plus longue - mais moins de dénivelés -, suivre la courbe de niveau ;
Depuis la cabane, partir vers l’étang de Cruzous, puis remonter -dans les lauzets - jusqu’au col de Pécouch, en réalisant une large boucle.
Une belle boucle sur un relief très minéral - gros blocs, éboulis, grandes dalles calcaires -, en longeant l’ « arête des antiques ».
http://www.pyrenees-team.com/forumpteam ... &start=195
. La plus aérienne : en grimpant au Valier par « l’arête des antiques ».
Cf. Photo ci-dessus.
Ces itinéraires sont moins fréquentés, plus sauvages.
On y observe une faune plus présente ;
. Animaux sauvages : marmottes, isards, rapaces, dahuts …
. Mais également des animaux « domestiques », … des moutons – qui semblent rechercher la présence humaine, peut-être rassurante, … allez savoir pourquoi … -, des chevaux, des vaches,
… et des ours, ... pour s’occuper de tout ce petit monde.
La montagne, … ca vous gagne.
Je possède quelques photos récentes du secteur.
Merci beaucoup à Cédric, Cyril et Bernard pour vos précieuses informations qui vont nous aider à bien réussir notre virée; du mauvais temps est prévu à partir de jeudi soir aussi je crois que nous allons choisir une cabane car ma femme craint l'humidité alors...
Par contre je me pose une question: ces cabanes n'abritent elles pas un berger pendant l'estive comme c'est souvent le cas chez nous en Béarn ou sont elles réservées aux marcheurs?
Merci Bernard pour ton topo sur les animaux: effectivement aujourd'hui nous avons fait un petit pic dans notre pays basque , côté espagnol, le Lakartxela et nous avons surpris un dahut lors de l'ascension; nous montions sous son vent et il ne nous a pas vu venir; nous étions sous le charme car c'est très rare d'en voir, surtout dans la journée! Aussi on a arrosé ça avec le Ricard lors du repas de midi!
Amitiés à tous
Pat
Par contre je me pose une question: ces cabanes n'abritent elles pas un berger pendant l'estive comme c'est souvent le cas chez nous en Béarn ou sont elles réservées aux marcheurs?
Merci Bernard pour ton topo sur les animaux: effectivement aujourd'hui nous avons fait un petit pic dans notre pays basque , côté espagnol, le Lakartxela et nous avons surpris un dahut lors de l'ascension; nous montions sous son vent et il ne nous a pas vu venir; nous étions sous le charme car c'est très rare d'en voir, surtout dans la journée! Aussi on a arrosé ça avec le Ricard lors du repas de midi!
Amitiés à tous
Pat
le randonneur
Il y a bien moins de cabanes occupées par des bergers en Ariège que dans le Béarn. Et ces cabanes ci ont souvent deux parties, une pour le berger et une pour les randonneurs. Comme ça toutle monde il est content.
Dans le massif du Mont-Valier, les cabanes de Caoussis et d'Espugues ne sont pas occupées par des bergers. Celle du Taus je sais pas. Celle de Subéra par contre, sur le sentier de la liberté, possède une partie berger et une partie randonneurs, toutes deux confortables. Le berger est là en permanence, surveillant génisses et chevaux. La politesse veut d'aller leur dire bonjour en arrivant à mon avis. Un petit café offert après 2 ou 3 heures de marche ça fait du bien.
Tu opterais plutot pour quel itinéraire pour monter au Mont-Valier ?
Dans le massif du Mont-Valier, les cabanes de Caoussis et d'Espugues ne sont pas occupées par des bergers. Celle du Taus je sais pas. Celle de Subéra par contre, sur le sentier de la liberté, possède une partie berger et une partie randonneurs, toutes deux confortables. Le berger est là en permanence, surveillant génisses et chevaux. La politesse veut d'aller leur dire bonjour en arrivant à mon avis. Un petit café offert après 2 ou 3 heures de marche ça fait du bien.
Tu opterais plutot pour quel itinéraire pour monter au Mont-Valier ?
Merci encore Cyril pour les infos;
En ce qui nous concerne, je te rassure, on n'est pas du genre à marcher "idiot"; on a tjrs un grand plaisir à aller à la rencontre de la faune, de la flore mais aussi de la vie pastorale et donc des bergers avec qui on échange souvent; ça ne nous viendrait pas à l'esprit de passer devant un berger sans aller lui dire quelques mots et plus si il en a envie. On a tjrs ds notre sac de quoi échanger: ricard, cognac, rouge, café, déca etc..que l'on partage facilement, c'est notre esprit; hier nous avons secouru un couple d'Anglais qui n'avaient plus rien à boire depuis 10 bonnes heures!
Pour ce qui est du parcours nous n'avons pas fait encore le choix car on a énormément de choses à faire par ailleurs et on va étudier la question ds les heures qui viennent; je te tiendrai au courant, en espérant que j'aurais le temps, en tout cas merci encore.
En ce qui nous concerne, je te rassure, on n'est pas du genre à marcher "idiot"; on a tjrs un grand plaisir à aller à la rencontre de la faune, de la flore mais aussi de la vie pastorale et donc des bergers avec qui on échange souvent; ça ne nous viendrait pas à l'esprit de passer devant un berger sans aller lui dire quelques mots et plus si il en a envie. On a tjrs ds notre sac de quoi échanger: ricard, cognac, rouge, café, déca etc..que l'on partage facilement, c'est notre esprit; hier nous avons secouru un couple d'Anglais qui n'avaient plus rien à boire depuis 10 bonnes heures!
Pour ce qui est du parcours nous n'avons pas fait encore le choix car on a énormément de choses à faire par ailleurs et on va étudier la question ds les heures qui viennent; je te tiendrai au courant, en espérant que j'aurais le temps, en tout cas merci encore.
le randonneur
On a fait le Valier. On a été enchanté de la virée.
La veille couchage à l'hôtel à St Girons. Je vous déconseille cet hôtel(l'Union), non pas parce qu'il est rudimentaire, non pas parce que l'eau chaude n'est pas tjrs au rv, non pas parce qu'il y a le bordel dehors une partie de la nuit, mais parce que le tenancier n'est ni causant ni sympa. et qu'il nous a fait partir plus tard qu'on avait prévu pour faire ce mont mythique.
Pour l'aller, on a choisi la route directe par la vallée du Ribérot car le mauvais temps était annoncé pour le lendemain, moi et le copain (ma femme était out pour un pb de genou). Repas pris à côté du refuge des Estagnous après une bière bien fraiche au refuge, montée en 1h30 pour atteindre les 2 croix du sommet. Jusque là que du bonheur...
Où ça s'est compliqué, c'est pour la fin de la journée: on avait prévu de dormir à Espugue. Nous avons donc passé le col de Pécouch en descendant du Valier et là, au lieu de suivre bien sagement le balisé jusqu'à Milouga puis Espugue, j'ai eu l'idée aussi "saugre" que "grenue" de vouloir descendre par le nord depuis Pécouch pour rejoindre le lac de Cruzous afin de remonter vers Espugue! Cette idée a failli me faire perdre un copain...
Nous avons donc évolué vers le lac ds cet univers minéral "lunaire"en voulant décrire un large cercle afin de rester sur la courbe, d'éviter le trou des étangs de Milouga, les connaisseurs comprendront.
Quelle mauvaise idée! Rapidement nous nous sommes trouvés confrontés à des crevasses transversales de plus en plus profondes si bien que, lassés, nous avons décidé de tenter une descente vers les étangs. Ceux qui connaissent comprendront notre infortune! Descente aléatoire, sous la pluie, l'orage, les glissades sur les rochers au lichen mouillé, difficulté à trouver des passages, pas de corde. Par miracle nous avons réussi à trouver une voie jusqu'en bas. Le chemin était encore long ds la rocaille du bas avant que, enfin, nous puissions monter à Espugue où nous arrivâmes à 8h du soir.
Nous n'avons rarement apprécié autant notre arrivée à une cabane! Les nombreuses habitantes de la cabane ne nous ont pas beaucoup géné ds notre sommeil...et pourtant, elles ont bien visité nos gamelles, couru sur les matelas et laissé beaucoup de petites crottes un peu partout. Heureusement nous avions sécurisé notre nourriture.
Le lendemain nous sommes sagement descendu vers le parking en prenant notre temps, notamment celui de trouver quelques cèpes ariègeois, histoire de les comparer aux cèpes landais: ils sont très bons.
Souvenir inoubliable de cette région très sympa que nous avons eu grand plaisir à découvrir après avoir découvert le Biros au mois de juin en rentrant d'Espagne par le port D'Orle.
L'Ariège mérite sa réputation et nous y reviendrons.
La veille couchage à l'hôtel à St Girons. Je vous déconseille cet hôtel(l'Union), non pas parce qu'il est rudimentaire, non pas parce que l'eau chaude n'est pas tjrs au rv, non pas parce qu'il y a le bordel dehors une partie de la nuit, mais parce que le tenancier n'est ni causant ni sympa. et qu'il nous a fait partir plus tard qu'on avait prévu pour faire ce mont mythique.
Pour l'aller, on a choisi la route directe par la vallée du Ribérot car le mauvais temps était annoncé pour le lendemain, moi et le copain (ma femme était out pour un pb de genou). Repas pris à côté du refuge des Estagnous après une bière bien fraiche au refuge, montée en 1h30 pour atteindre les 2 croix du sommet. Jusque là que du bonheur...
Où ça s'est compliqué, c'est pour la fin de la journée: on avait prévu de dormir à Espugue. Nous avons donc passé le col de Pécouch en descendant du Valier et là, au lieu de suivre bien sagement le balisé jusqu'à Milouga puis Espugue, j'ai eu l'idée aussi "saugre" que "grenue" de vouloir descendre par le nord depuis Pécouch pour rejoindre le lac de Cruzous afin de remonter vers Espugue! Cette idée a failli me faire perdre un copain...
Nous avons donc évolué vers le lac ds cet univers minéral "lunaire"en voulant décrire un large cercle afin de rester sur la courbe, d'éviter le trou des étangs de Milouga, les connaisseurs comprendront.
Quelle mauvaise idée! Rapidement nous nous sommes trouvés confrontés à des crevasses transversales de plus en plus profondes si bien que, lassés, nous avons décidé de tenter une descente vers les étangs. Ceux qui connaissent comprendront notre infortune! Descente aléatoire, sous la pluie, l'orage, les glissades sur les rochers au lichen mouillé, difficulté à trouver des passages, pas de corde. Par miracle nous avons réussi à trouver une voie jusqu'en bas. Le chemin était encore long ds la rocaille du bas avant que, enfin, nous puissions monter à Espugue où nous arrivâmes à 8h du soir.
Nous n'avons rarement apprécié autant notre arrivée à une cabane! Les nombreuses habitantes de la cabane ne nous ont pas beaucoup géné ds notre sommeil...et pourtant, elles ont bien visité nos gamelles, couru sur les matelas et laissé beaucoup de petites crottes un peu partout. Heureusement nous avions sécurisé notre nourriture.
Le lendemain nous sommes sagement descendu vers le parking en prenant notre temps, notamment celui de trouver quelques cèpes ariègeois, histoire de les comparer aux cèpes landais: ils sont très bons.
Souvenir inoubliable de cette région très sympa que nous avons eu grand plaisir à découvrir après avoir découvert le Biros au mois de juin en rentrant d'Espagne par le port D'Orle.
L'Ariège mérite sa réputation et nous y reviendrons.
le randonneur
bonsoir pat, je viens de lire ton témoignage sur le valier.
tu as dû passer par là, en longeant la face nord du valier et le valiérat.
http://picasaweb.google.fr/berlang31500 ... 6966904370
il est vrai que le chemin est mal kairné.
nous étions sur zone le we précédent (où nous avions dormi aussi à la cabane des espugues, la partageant avec les mêmes souris).
il faut zigzager entre les blocs et se diriger vers le bas de l'étang de cruzous (que l'on découvre au dernier moment).
il est vrai que marcher sur ce relief, surtout par temps humide (nous avions eu une superbe journée) est un peu rude.
le mieux est de longer l'arête des antiques, en tirant progressivement sur la gauche.
tu as dû passer par là, en longeant la face nord du valier et le valiérat.
http://picasaweb.google.fr/berlang31500 ... 6966904370
il est vrai que le chemin est mal kairné.
nous étions sur zone le we précédent (où nous avions dormi aussi à la cabane des espugues, la partageant avec les mêmes souris).
il faut zigzager entre les blocs et se diriger vers le bas de l'étang de cruzous (que l'on découvre au dernier moment).
il est vrai que marcher sur ce relief, surtout par temps humide (nous avions eu une superbe journée) est un peu rude.
le mieux est de longer l'arête des antiques, en tirant progressivement sur la gauche.
En fait on est passé à mi chemin entre le haut des étangs du Milouga et le bas de la crète et on a rencontré de profondes crevasses longitudinales (nord-sud) que l'on devait raverser en travers; ça devenait très pénible et très long.
As tu déjà rejoint l'étang de Cruzous depuis Pécouch par ce chemin? Car de loin on ne distingue pas les crevasses, le parcours semble "plat".
As tu déjà rejoint l'étang de Cruzous depuis Pécouch par ce chemin? Car de loin on ne distingue pas les crevasses, le parcours semble "plat".
le randonneur
non, pas depuis pécouch mais depuis le pierrier qui descend du valierat.
il y a 2 ans, j'étais revenu au pla de la lau (cascade de muscadet) par milouga, càd en suivant les kairns. ensuite poursuite jusqu'à la cabane de taus, celle d'aouen.
qq images :
du we précédant le tien (clique sur l'image).
http://pyrenephoto.free.fr/
il y a deux ans, montée au valier par barlonguères, et retour, le lendemain par milouga. je te le conseille, moins fréquenté, et qq cabanes aussi.
plus les superbes étangs (long et rond).
http://pyrenephoto.free.fr/spip.php?article67
je commence à connaitre un peu le secteur.
la seule direction que je ne connais pas encore, montée au valier par le port d'aula.
pour plus tard.
il y a 2 ans, j'étais revenu au pla de la lau (cascade de muscadet) par milouga, càd en suivant les kairns. ensuite poursuite jusqu'à la cabane de taus, celle d'aouen.
qq images :
du we précédant le tien (clique sur l'image).
http://pyrenephoto.free.fr/
il y a deux ans, montée au valier par barlonguères, et retour, le lendemain par milouga. je te le conseille, moins fréquenté, et qq cabanes aussi.
plus les superbes étangs (long et rond).
http://pyrenephoto.free.fr/spip.php?article67
je commence à connaitre un peu le secteur.
la seule direction que je ne connais pas encore, montée au valier par le port d'aula.
pour plus tard.
Merci Bernard pour tes indications et tes conseils. Toutefois on n'est pas du coin et on marche plutôt habituellement vers chez nous (Béarn, Bigorre, Pays basque,etc) et on ne reviendra pas de suite dans cette vallée, on essaie de changer à chaque fois de région quand on "sort" de chez nous.
Mais l'Ariège est une belle région et elle nous a beaucoup plus en particulier par l'authenticité des gens et un côté traditionnel qui hélas tend à disparaitre vers chez nous, en raison entre autre de l'afflux de personnes d'autres régions( je vx dire pour y habiter, pas seulement pour s'y promener).
Patrick
Mais l'Ariège est une belle région et elle nous a beaucoup plus en particulier par l'authenticité des gens et un côté traditionnel qui hélas tend à disparaitre vers chez nous, en raison entre autre de l'afflux de personnes d'autres régions( je vx dire pour y habiter, pas seulement pour s'y promener).
Patrick
le randonneur
il est vrai que cette partie de l'ariège, est restée assez authentique, malgré les percées du tourisme.
pourvu que ca dure...
voilà une image qui évoquera quelques souvenirs.
et une idée du parcours pour ceux qui ne connaissent pas le secteur.
il faut passer par le haut, et pour rejoindre l'étang de cruzous (que l'on voit au dernier moment), aller progressivement vers la gauche.
on évite la grande fissure que l'on voit sur la photo.
on apercoit bien, en premier plan, le trou des étangs.
une image zoomée prise depuis la cabane des espugues.

pourvu que ca dure...
voilà une image qui évoquera quelques souvenirs.
et une idée du parcours pour ceux qui ne connaissent pas le secteur.
il faut passer par le haut, et pour rejoindre l'étang de cruzous (que l'on voit au dernier moment), aller progressivement vers la gauche.
on évite la grande fissure que l'on voit sur la photo.
on apercoit bien, en premier plan, le trou des étangs.
une image zoomée prise depuis la cabane des espugues.
