C'est vrai mais en montagne on se doit d'être solidaires même si dans la vie on ne l'est plus beaucoup...
J'ai aussi rencontré des personnes "sages" qui demandaient des conseils pour savoir jusqu'où elles pouvaient aller compte tenu de leur expérience et de leur équipement.
Et puis nous avons dû aussi débuter; question: rappelez vous vos débuts, est ce que vous n'avez jamais fait de c...ies? pour ma part, oui.
MONT PERDU LE 6 ET 7 OCTOBRE PAR TUQUEROUYE
Modérateur : Pteam
Bien sûr, être un peu limite sur une course, c'est cela qui fait progresser. On ne s'améliore pas sans un peu de danger, sans une légère montée d'adrénaline.
J'ai effectivement fait des choses que je ne referai plus de la même manière et je fais sans doute encore des choses limites dont je ne me rendrai compte que plus tard.
Cela dit, on sait grosso modo où se situe cette "zone limite", et c'est bien en deçà de cette "zone" que je me permets de donner des conseils de sécurité. A l'approche de cette zone, je me tais et j'observe.
C'était là le sens de ma réplique à retardement au "sur le glacier du Perdido, les crampons, çà sert à rien".
En montagne, l'humilité est un ingrédient essentiel du plaisir.
L.
J'ai effectivement fait des choses que je ne referai plus de la même manière et je fais sans doute encore des choses limites dont je ne me rendrai compte que plus tard.
Cela dit, on sait grosso modo où se situe cette "zone limite", et c'est bien en deçà de cette "zone" que je me permets de donner des conseils de sécurité. A l'approche de cette zone, je me tais et j'observe.
C'était là le sens de ma réplique à retardement au "sur le glacier du Perdido, les crampons, çà sert à rien".
En montagne, l'humilité est un ingrédient essentiel du plaisir.
L.
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- Montagnard (e)
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- Localisation : Saint médard en jalles
Bonjour,
Dans un refuge non gardé il serait de bon ton que les gens ne brûlent que la quantité de bûches qu'ils ont amené au refuge auparavent ou le jour même.Il n'y a pas de miracles les buches n'arrivent pas toutes seules au refuge, c'est malheureux d'être obligé d'aller planquer son bois à quelques encablures du refuge.Pour avoir du bois en hiver il faut y penser l'été.
Dans un refuge non gardé il serait de bon ton que les gens ne brûlent que la quantité de bûches qu'ils ont amené au refuge auparavent ou le jour même.Il n'y a pas de miracles les buches n'arrivent pas toutes seules au refuge, c'est malheureux d'être obligé d'aller planquer son bois à quelques encablures du refuge.Pour avoir du bois en hiver il faut y penser l'été.
Tout à fait, comme les cabanes que l'on trouve sales et qu'on laisse propres en partant...certains font l'inverse et c'est dommage; est ce qu'il faut le rappeler encore?
Toutefois je trouve que les cabanes éloignées ou difficiles d'accès sont nettement plus propres que celles plus accessibles, ce qui prouve que les montagnards sont généralement respectueux des choses et surtout de celles que l'on met gracieusement à leur disposition.
Toutefois je trouve que les cabanes éloignées ou difficiles d'accès sont nettement plus propres que celles plus accessibles, ce qui prouve que les montagnards sont généralement respectueux des choses et surtout de celles que l'on met gracieusement à leur disposition.
le randonneur