Après le post de Vivaleu j'ai presque honte de poster une sortie mais comme Dédé fait partie des lecteurs il faut bien mettre des sorties qu'il est encore capable de faire



Donc quand un couple de parisiens fatigués et en légère surcharge pondérale vous demande de leur organiser plusieurs jours dans les Pyrénées , le Val d'Aran s'impose de lui-même !
Arrivée mardi pour vérifier que tout est en ordre.
Après une nuit et une matinée de pluie hallebardesque Orion réclame son quota de poursuite de marmottes donc direction le pla de Beret pour monter une piste généralement blindée de touristes !
On voit le Barlonguère, ça se dégage
On n va par là
AMbiance wagnérienne !
Le tuc de Beret
Depuis le Tuc de Costarjas
Parros
Finalement 3h sans se mouiller (sauf les pieds! )
Le lendemain les parisiens sont arrivés donc direction le parking de Beret et hop direction,.... on verra bien...
On s'élève vers la hourquette d'Areu
On y est
Et on suit la crête
Arrivée au Tuc de Rosari
L'image même de la méditation
Bon il regrette un peu de ne pas être parti avec Vivaleu car là on se traîne....

Et on descend
Jeudi on repart mais cette fois pour deux jours avec la cabane des Mines de Liat comme base d'activités
Depuis le col de Varrados
On va rejoindre la piste qui conduit à la cabane
Le sherpa
Pla de Tor
Peu avant la cabane
Une pause à la cabane pour pique niquer puis on repart vers les crêtes
Depuis la Pica Palomera
On voit même le Vignemale
Estany Nère de Guerri
La crête à parcourir
ça fait du bien !
On fera pareil ici
Le soleil se couche
Une bonne nuit plus loin
Le Tuc d'Armeros
Au sommet
Le sherpa se refait la santé !
Et retour au col de Varrados.
Là il faut juste que je finisse sur une note agacée.
Je descendais prudemment en voiture la piste côté Bagerque quand je me suis fait dépasser par la droite (entre ma voiture et la paroi) par un VTT lancé à fond et, évidemment, sans aucun avertissement préalable. 30 secondes plus tard, ce fut un autre VTT par la gauche (entre ma voiture et la forte pente). Un seul écart de ma part et ils auraient été transformé en pâtée pour le chats. Il faudrait quand même qu'ils imaginent que je ne pouvais pas les voir (l'attention étant happée par éviter les trous de la piste) et encore moins les entendre.
Bon, l'intérêt du moment fut de travailler ma capacité à insulter en espagnol


Ceci mis à part (et vite oublié), les parisiens étaient heureux mais fatigués !