




Des lustres que je n'ai pas posté…
...mais comme on repart pour un confinement (plutôt des restrictions…) jusqu'en 2033




Figurez-vous que je n'étais jamais allé au Pibeste -ouh la honte, le boulet, le fainéant etc


Le choix de Ségus et du versant nord s'est rapidement imposé (dénivelé raisonnable, mais raide à la montée)
C'est parti pour qq photos:
Montée raide en direction du col de Mailh d'Arréou, dans les nuages:

Toujours la montée raide dans les nuages, juste avant le dévers exposé où heureusement le sol était à peu près sec:

Après une mini halte à Mailh Arréou pour souffler, direction le col d'Oustu et l'entrée dans le bois avec le rampaillon de 200m direct, à même les racines. Ce sentier archi direct bien que balisé a dû être tracé par un très ancien trailer hyperactif-addicte (pléonasme)
.. je vais me faire des amis



Peu avant le sommet, je rame tel un Avironnard, et ma coéquipière addicte-poilue


Au sommet, juste la percée qu'il faut pour surnager légèrement au-dessus de la mer de nuages et admirer les "familiers" Cabaliros, Monné, Balaïtous, Palas, Gabizos, Latte de Bazen…:

Ainsi que Midi de Bigorre, Montaigu (peu visibles), Léviste, Soum de Nere, ..:

et plus élargie en incluant le Monte Perdido-Cilindro (peu visibles), l'Ardiden et le Viscos devant lui; les Cabaliros, Monné..

Retour tranquille par la crête ouest, un peu terni par une info que j'apprends d'un montagnard rencontré près du sommet: un randonneur tarbais s'est tué la veille sur la crête du Pibeste…

Après le beau Chemin des Gardes, on va chercher le passage dans le bois de Ségus, avec un peu plus tard le Prat du Rey en fond:

Paisible descente contrastant avec la montée:

Et repos mérité … avant confinement...


Voili voilou, jolie balade énergique qui recharge les accus avant d'affronter le- nouveau me..d..r

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Lagrole