On part en direction des crêtes de la Pègue, sans être sûr de pouvoir les atteindre vu l'enneigement (cf. dificulté de progression et stabilité du manteau).
On commence à tracer dans la poudreuse à super-Barèges. On fait une trace de 60-80 cm de profondeur (ponctuellement 100). Assez éprouvant ! mais bien amusant de creuser une telle tranchée pour progresser
On fera demi tour dans la combe, au pied des crêtes. Les jambes en ont assez, la nuit pourrait nous rattraper, et surtout les pentes redressées sur la fin ne paraissent pas engageantes.
La descente dans la poudreuse : un régal
En guise de décrassage le lendemain, découverte du royaume de Laurent : le Pibeste ! montée en mode sportif, excellent ! très agréable aussi cette approche de la montagne que je ne pratique pas souvent.
Des blocs de granit isolés m'intriguent, à mi montée environ ; les CAFistes d'Orthez nous apprendront qu'il s'agit de blocs erratiques ! les glaciers des vallées d'Argelès et d'Azun remontaient très haut sur les pentes du Pibeste... impressionnant.
Laurent je te passe le relai pour les photos
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, parce là ça me semble avoir été sportif cette petite sortie... 
