Montée tranquille, à l'ombre, vers le Port de Vénasque.
Tiens le refuge ne semble plus gardé. Je croyais qu'il l'était jusqu'à fin septembre.
Le Lac sous le refuge a perdu beaucoup d'eau.
Le Boum du Port maintient son rang (le Col de la Montagnette qui est le seul col visible à ce moment)
Mais, il a neigé ?
Le Port de Vénasque se découvre. D'abord par une raie de lumière...
... puis franchement.
Les derniers mètres pour deux randonneurs en quête de souffle. Il ne fait pas bien chaud ce matin.
Dernier regard sur les Boums du Port.
La découverte de la Maladeta, pour classique qu'elle soit, est toujours aussi saisissante.
En route pour le Pic. Un topo prévient : "Quelques passages rocheux parfois assez abrupts et dangereux, mais sans difficulté (protection par une main courante), obligent à rester prudent." Je reste prudent... et manque d’élégance dans le passage
... que je passerai facilement, sans l'aide du câble au retour ! 
Et voila le sommet. Quelle vue !
Perdiguère, Crabouilles, et, tout à gauche, le vallon de Remune, bien connu des hrpistes.
Sans commentaire...
Vers le Tuc de Mulleres et l'Aneto.
Pic de la Mine, Sarrat de la Freche, Port de la Picade...
De la Pique au Pic de la Mine. Mais, au fond, au centre...
... cette pyramide blanche... Je crois reconnaître le Vallier, tout blanc ! (bien à droite)
Le lac de la Montagnette.
Un petit zoom sur le Sacroux (tout à droite), autre belvédère remarquable, visité il y a une dizaine de jours.
Et sur la Maladeta et l'Aneto, histoire de voir si des PTeamers sont sur le glacier !?
Le Pic de la Mine (du moins sous cet angle) n'apparait pas très engageant...
Solide pique nique et voila le moment de repartir. Retour par le Port de Picade.
Une dernier regard au Sauvegarde et à la brèche du Port de Vénasque. Plus à droite, le Pic de la Mine.
Puis direction le Pas de l'Escalette. On descend, puis on remonte. Et si j'allais faire une visite au Soum de l'Escalette ? Une belle vue sur le Pic de la Mine (juste à droite de la sombre -sur la photo- Sarrat de la Freche) avec à son droite le Bec de Corbeau.
Un dernier regard sur l'Espagne : Le Tuc de Mulleres où, il y a un an, Gérard et Jim64 m'avaient accompagné.
Descente sur le Pas de la Mounjoye (ça se prononce comment ?).Et, de là, promenade paisible dans les verts pâturages.
Le soleil est là, la lumière est belle, je refuse de descendre directement à l'hospice et pousse jusqu'à la cabane de Campsaure.
Bon, il faut rentrer. Le chemin des chèvres, c'est direct pour l'Hospice de France.
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