Devant mon renoncement pour le ski rando avec ces conditions si particulières, départ vendredi matin pour le Peyreget que je ne connaissais pas en hivernale.....printanière
Après avoir pris le temps de boire un petit café à Laruns départ donc vers 9h30 du parking de l'Arraille, que vous connaissez bien, depuis notre petit saut à la Gradillère pour fêter la fin d'année 2011.
Après quelques mètres parcourus sur de la neige dure, nous avons vite compris que nous transporterions nos raquettes sur le dos toute la journée, et que les crampons n'alourdiraient pas nos sacs
en ce moment si on a pas de bottes en caoutchouc 
c'est crampons aux pieds tout de suite avec bâtons dans un premier temps et très vite avec piolet 
(je le dis, car au vu des photos qui suivent vous me feriez avec raison la remarque.. 
)Je voulais passer par le col de l'Iou, mais peu à peu la face sud laissait apparaitre quelques couloirs ou « canaules » qui semblaient pouvoir nous guider vers le sommet, par quelques "tout droit"
Quelques individus de ce forum, fréquentés récemment transmettraient-ils la maladie du "toudroitismeversenhaut"
Nous arrivions au sommet du Peyreget vers 12h30, après avoir eu une petite cheminée d'une quinzaine de mètres à passer pour atteindre l'antécime. Il s'est défendu jusqu'au bout le bougre
Après une pause de quelques minutes au sommet, nous décidions d'aller nous sustenter au refuge de Pombie, car la descente, coté nord, vers le col de Peyreget nous apparaissait bien luisante
Le parcours jusqu'au refuge se déroula sans encombre dans un paysage grandiose au pied des falaises du Jean-Pierre..
Nous revenions ensuite au parking, après avoir croisé deux jeunes couples de skieurs espagnols qui s’étaient aventurés sur les pentes ensoleillées.
Je vous confie ces quelques images, volontairement sans commentaire....à regarder tout simplement.....
Addishatz.
Dédé
de WE avec ses morts et survivants, as tu pu nous sortir ce post et les images qui vont avec 
@+
de s'offrir de temps en temps sous cet aspect, à nos regards émerveillés 
.
