Réverbération bien sévère au lac de la Glère
Le Campanal de Larrens pointe au loin
Monter à une heure pareille, il faut vraiment être motivés (ou débiles, au choix)... et on monte...
Ode à mes skis ! avec la hourquette d'Aubert derrière
Le soir, ça se couvre, mais nous, on échafaude des plans pour le lendemain ! Néouvielle ? Turon ? Les deux peut-être !
Espade et Néouvielle
La hourquette de Mounicot
Campanal de Larrens et pic de la Coume de l'Ours derrière
Dimanche, le ciel est presque tout bleu et le regel béton. La descente du refuge jusqu'au lac en bas avec les peaux racle un peu et puis il faut remonter les vallons jusqu'au mur raide sous la brèche.
Le Mont Arrouy (y voit-on Christian ?)
Le Néouvielle, assailli par un malheureux voile nuageux
La Glère est déjà loin
Les couteaux sont plus que nécessaires, la pente se raidit et les conversions sont un peu tendues, mais ouf, on arrive au pied de la brèche de Chausenque, que l'on passe en crampons.
Derrière, c'est vierge, à nous la trace ! Plus on monte, plus il y a de fraîche, plus on a la banane en pensant à la descente... Le sommet s'atteint après une courte escalade facile en crampons piolet. Normalement, on aurait du profiter d'un somptueux panorama, mais non, un voile nuageux avait décidé de rester là. C'est pas grave, on est pas venus que pour ça, mais pour ces virages extra dans la poudre plein nord !
Le pic du Midi, un peu gris
Et l'Arbizon en noir et blanc
Après repassage de la brèche et repeautage, on descend jusqu'à 2650 environ et on remonte vers le Turon.
Le versant nord de la brèche de Chausenque
Purée, c'est pas la porte à côté... long et plat, le truc !
On arrive finalement au sommet, vue toujours pas dégagée. De belles corniches ornent l'arrête entre Turon et pic des Trois Conseillers.
Fin des photos, pas le temps de s'arrêter dans la descente, la crêpe nous attendant à Luz. Croûtée en haut, puis moquette, puis soupe, puis eau profonde... peu importe, on en aura bien profité !