Dans l'objectif de mon ''attrapeur de rêves''.
La voici soudain , la montagne sacrée,
surgie des nuages dans la lumière ambrée d'un après-midi de Novembre.
Alors me reviennent en tête ces quelques strophes du poète, teintées du Catalan, langue de mes ancêtres:
"Lo que un segle bastí l’altre ho aterra,
mes resta sempre el monument de Déu;
i la tempesta, el torb, l’odi i la guerra
al Canigó no el tiraran a terra,
no esbrancaran l’altívol Pirineu".
Jacint Verdaguer, Canigó.
("Ce qu'un siècle bâtit, le suivant le détruit
Mais il reste toujours le monument de Dieu
Et la tempête, les bourrasques, la haine et la guerre,
Ne pourront pas terrasser le Canigou
Ni insulter les Pyrénées altières")
@bientôt, en direct des cimes...