Pour faciliter la vie des isards, bouquetins, perdrix, aigles, vautours, gypaètes et autres grands tétras qui, dans les conditions actuelles, ont des difficultés pour s'alimenter et qui dépensent une énergie vitale folle pour garder leur distance de fuite, il faudrait s'abstenir de randonner en montagne.
Si nous voulons retrouver cet été, une montagne habitée par la biodiversité, restons au coin du feu tant que la neige descend si bas et une fois le manteau remonté vers des altitudes plus habituelles, limitons nos incursions hivernales en altitude.
Attention ça va tomber comme à Gravelotte.






Philippe