Pour réaliser ce premier rêve, j'ai choisi de m'insérer dans un groupe de 8 personnes et de faire parti d'un stage organisé par les guides de St Gervais.
Les 3 premiers jour du stage permettent d'appréhender l'altitude, on fini le stage en haut du col de la Bérangère, vers 3400m on marche aussi sur des glaciers ( le glacier de trélatête), traverse des crevasses et on fait un peu d'alpinisme.
Je n'ai pas eu beaucoup de chance avec le temps, comme Laurence (oui je suis un peu jaloux), donc les photos sur le glacier dans le brouillard et sous la pluie, il n'y en a pas eu.
Per contre, le troisième jour du stage a donné ça:
Col de la bérangère:

Vu du col de la bérangère (bien sur le Mont Blanc)

Panorama du Col:

A la suite de cela, et après un jour de repos, nous sommes enfin parti pour ce fameux sommet. L'estomac un peu noué, du aux prévision météo pessimistes. On embarque dans le TMB (tramway du Mont Blanc)qui nous dépose vers 2000m à un lieu qui s'appelle le nid d'aigle.Début de l'ascenssion vers le premier refuge , le refuge de tête rousse qui se situe vers les 3000. Monté sans problème, et malgré le temps, en tee shirt.
Le chateau de Dracula? Non, l'aiguille du midi dans toute sa splendeur:

Après une bonne soupe au premier refuge, on se dépêche de repartir pour éviter la pluie. On se couvre déjà un peu plus. Là, on traverse la partie la plus dangereuse et la plus mortelle de cette voie, pour aller vers le refuge du Goûter.
D'abord, il y a ce fameux couloir d'avalanche, pas très large, à peu près 50m mais très raide avec un passage très étroit. Les randonneurs au dessus font tomber les pierres, et etc. Passage hyper dangereux. Même le guide s'attach à un câble qui est tendu en travers. Plus on passe tôt, moins on a de risque. Ensuite, on escalade vers le refuge du goûter qu'on atteint vers 17. (Pas de secret)
Traversé du couloir et escalade vers le goûter:
Le refuge est situé au tier supérieur gauche de la photo

Le Goûter, ça se mérite

Le confort est assez spartiate, mais on est pas venu pour ça. Un repas, et au lit de bonne heure, car le lendemain, le départ doit avoir lieu à 3h. Effectivement, à 2h tout le monde était debut, sana réveil. le mauvais temps aussi. Dépat annulé. Les guides nous renvoient au lit.(va dormir toi...) à 6h du matin et après renseignement (plafonf vers les 4000m) les guides décident de partie. Ils nous l'on pas dit deux fois. Une heur après ont est sortie des nuages, et à 9h50, j'ai posé le pied sur le sommet.
On fait la trace. Au milieu le refuge Valot

En ligne de mire

Le sommet enfin, un peu engoncé (-10°+30km de vent. En s'est pas éternisé)

Un petit panoramique


Voilà, j'espère que ça vous a plu et que ça pourra en aider certain à préparer leur ascension
Alain