Quand je rejoins Olivier au parking, le Cambre est dans les nuages
; il se planque le bougre 
, mais on finit qd même par trouver le Vermi :il est là :
On ne trouve pas la neige avant 2000 m environ, par plaques d'abord, mais le pierrier n'est pas encore trop pénible à franchir
Dans le couloir, la neige est dure
( alors que vendredi, avec Minipouce dans l'Ordiguer, c'était 75% de neige molle et 25% de neige à peu près dure) Va comprendre Charles 
Lorsque la trace disparaît, on est en pointes avant.
Donc que du bonheur; surtout que , lorsque l'on s'est équipé, les nuages se sont déchirés juste au dessus de nos têtes et ce fut grand beau :
Derrière nous, la Terre a disparu, on est sur la planète Cambre
:
La sortie fut un jeu d'enfant :
On émerge en plein soleil, et après avoir été jusqu'au sommet, on décide de manger à l'entrée de la Grande Cheminée, Eole étant aux abonnés absents
Olivier a mis les petits plats dans les grands : Foie gras et Gewurz
, qui , doit -on le rappeler, se boit frappé :
Tous les couloirs ont été faits : le ressaut du Bougnagas est plus sec que les chaussettes de l'Archiduchesse mais en protégeant, ça passe; le Gigolo sort tout droit; même l'Eclair y a eu droit
; mais actuellement , le mur est dans un équilibre tangible : la neige amorce un décollement de la paroi, ce qui n'est pas de très bon augure pour qui aurait l'idée d'y ancrer ses piolets 
Et voilà, ensuite on est redescendu sur Terre.
Merci à Olivier pour cette excellente journée passée en sa compagnie ( le Gewurz était extra
)Je vous le dit : le Vermi, millésime 2011 est à déguster sans modération.
les photos :
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encore un bravo, à qui le tour?
